Couple du Sud

69-copie-3.JPG Toi, toujours très sexy, une jupe courte évasée, les seins nus sous un chemisier largement échancré et moi, avons décides d'aller au cinéma.
Quelques minutes après le début de la séance, je suis penché sur toi et je te caresse. J'ouvre ton chemisier juste en dessous de ta poitrine et je tète tes boutons roses. Ma main pelote à travers le slip minuscule ta petite chatte déjà toute gonflée et ton clito qui bande sous la dentelle. Tu es tellement sensuelle et tu démarre au quart de tour. À la lueur de l'écran, j'aperçois deux ombres se glisser dans notre rangée, à quelques sièges de nous.

Nous constatons vite qu'il s'agit d'un couple et que leur occupation est assez similaire à la notre. Ils s'embrassent à pleine bouche et l'on devine la main du garçon se promener des cuisses aux seins de sa compagne, qui est, elle, la plus proche de nous. À priori cette main ne cherche pas encore à s'immiscer sous les vêtements. Je te fais remarquer au bout de quelques temps :

- Ils ont l'air plutôt sage ! Tu crois que notre présence les intimide ? Ils n'ont pas dû nous voir en arrivant.

- Demande-leur ! Me dis-tu en riant.

- Je vais plutôt les mettre à l'aise.

Tandis que nous échangeons un baiser passionné, j'entreprends de défaire un à un les derniers boutons de ton chemisier. Tu sens bien ma manoeuvre et te contente d'enfoncer ta langue dans ma bouche.

J'écarte largement le pan de ton vêtement et le maintien de ma main passée derrière tes épaules. Je masse ton joli sein découvert. Je remarque que le garçon, s'il ne cesse d'embrasser sa compagne, s'est positionné de façon à nous voir, et que son regard ne te quitte plus.

Je sais que ce sein, de profil, est superbe et le gars doit se rincer l'oeil. Loin de s'offenser de mon manège, tu lance de fréquents coups d'oeil à ton admirateur. Je caresse ta poitrine et, de l'autre main, pelote ta cuisse en remontant ta jupe. L'accoudoir doit en partie cacher mon geste mais le garçon ne peut ignorer que je te branle. La position de tes jambes, très écartées, est sans équivoque. Il a dû le faire remarquer à son amie car elle aussi se tourne souvent vers nous mais nous la voyons réagir quand il cherche à s'immiscer sous sa jupe. Elle n'est visiblement pas prête à s'exhiber.

D'une pression de la main, je t'invite à écarter plus grand encore tes cuisses, repoussant ta jambe jusqu'à la poser sur l'accoudoir de ton fauteuil. Ainsi ouverte, offerte, légèrement tournée vers tes voisins, ta position est totalement indécente. J’en profite pour glisser la main dans ton slip et branler ton bouton dressé. La tète au creux de mon épaule, tu te laisse branler. Ton sillon est humide et quand je plonge un doigt à l'entrée de ton vagin mouillé, tu gémis et te cabre dans mes bras.

Nos deux voyeurs ne nous quittent plus du regard. Si la situation les gênait, je pense qu'ils auraient changé de place. Je te caresse de plus en plus profondément et j'ai maintenant deux doigts qui s'agitent au fond de ta chatte en produisant un bruit de clapotis tout à fait obscène mais très excitant. Je ne crois pas qu'ils puissent l'entendre, pourtant ils doivent percevoir tes gémissements de petite salope.

Tu me caresse à travers mon pantalon et je sens tes doigts s'attaquer à ma ceinture. Je t'aide à me dégrafer et durant de longues minutes, nous nous masturbons réciproquement. La situation est très excitante et nous pousse à aller plus loin. D'autant que nous sentons leur regard sur nous et que la fille, jambes écartées, a autorisé son compagnon à la trousser et se laisse visiblement branler, en partie protégée par son accoudoir. Nous sommes à la limite de l'explosion. Tu mouille comme une fontaine en tortillant ton bassin à la rencontre de mes doigts fichés dans ton ventre.

Il semble, à ses soupirs, que notre voisine apprécie particulièrement le traitement que lui inflige son compagnon, qui a l'air lui aussi très excité. Je te demande alors :

- Enlève ton slip et viens t'asseoir sur mes genoux !

Ton geste pour te déculotter est évident. Courbée en avant, soulevant ta jupe, tu m'enjambe et vient écraser ta chatte ruisselante sur ma queue bien raide. Bien emprisonné entre les lèvres de ton sexe, je me laisse branler dans ton sillon, touchant ton clito et tes seins. Le garçon a l'air de peloter sa compagne avec vigueur. Elle est enfoncée dans son siège, cuisses ouvertes au maximum.

Tu te soulève, saisi ma queue et la pointe à l'entrée de ton vagin. Tu t'empale lentement et me fait pénétrer avec délice dans ton trou chaud et gluant de mouille. Le léger balancement de tes hanches est bien visible et nos voisins ne peuvent ignorer que nous baisons devant eux et que ma petite cochonne en a plein la vulve. Tu sais faire durer ce genre de pénétration et me procure un extraordinaire massage de tes muscles intimes. Je bloque tes fesses dès que je sens que je vais décharger.

Je te sens te tendre, pratiquement immobile, tremblante. Bien enconnée, tu vas chercher jusqu'au fond de tes reins un orgasme qui te secoue et tu me décharge d'un coup ton liquide sur la queue, affalée sur le dossier du siège que tu étreins à plein bras, tandis que je t'astique le clitoris et te pince un téton. J'ai réussi à contrôler mon plaisir et je te sens peser de tout son poids, jambes tremblantes, reprenant ton souffle. Mais au bout de quelques instants, je sens mon éjaculation monter et, n'y tenant plus, je te lime à coup de reins que je suis vite obligé de ralentir tant grince mon fauteuil.

Tu reprends ton mouvement et ta chatte aspire littéralement ma queue. Les yeux fixés dans ceux de ma voisine qui, semble-t-elle, est aussi proche de l'orgasme sous les doigts de son compagnon, pétrissant tes seins, j'explose dans ton vagin.

Je crois qu'elle aussi a joui. Je me sens tellement bien dans ton ventre que je n'arrive pas à débander et ça n'a pas l'air de te déplaire. Nous observons nos voisins. La fille semble au bord du plaisir. Elle ouvre et ferme convulsivement les cuisses et soudain se tend dans un soupir. C'est très excitant, mais tu a des crampes dans les jambes et je te pousse à t'asseoir de l'autre côté de moi pour ne pas faire écran. Je te glisse à l'oreille :

- Tu as été superbe ! C'était divin ! Ils ont l'air d'avoir apprécié mais je ne sais pas s'ils vont nous offrir le même spectacle.
- Demande-leur ! C'est toi le voyeur !
- Et toi, tu aimes bien qu'on te regarde te faire mettre, ma petite salope !
- Oui, j'aime ça ! Tu sais, j'ai joui deux fois !

Et tu te penche sur moi pour me sucer. Je n'en peux plus mais la situation est tellement excitante et ta bouche tellement accueillante que je ne tarde pas à retrouver un semblant de rigidité, les yeux fixés dans ceux de la fille pour lui faire comprendre que je voudrais moi aussi voir.

Le garçon semble parler à l'oreille de sa compagne mais elle a l'air hésitant. Je leur fais signe de s'approcher. Visiblement il est partant et essaye de la convaincre, fourrageant sous sa jupe, tandis qu'elle me fixe toujours. Je lui souris en réitérant mon geste. Elle bouge enfin et, presque poussée par lui, se lève et se rapproche, laissant malgré tout un fauteuil vide entre nous.

Elle est assez jolie et semble très émue. Son compagnon ne détache pas ses yeux de ton vissage qui aspire ma queue, et il replonge la main sous la jupe de sa compagne qui ouvre à peine les cuisses. Je ne fais aucun geste vers elle pour ne pas la brusquer mais mon sexe a retrouvé sa rigidité. J'aperçois entre les jambes de la fille l'étoffe claire de son slip sous lequel s'est insinué son compagnon. Je me penche légèrement vers eux :

- C'est très excitant de voir quelqu'un faire l'amour à coté et en même temps que soi !

Elle me sourit. Je t'invite à reprendre ta place sur mes genoux, te troussant jusqu'à la taille tandis que tu m'enjambe. Tu positionne mon gland a l'entrée de ton cul et tu t'empale d'un coup, j'écarte ton chemisier pour leur permettre de découvrir de près tes seins. Le garçon a l'air fasciné. La fille se soulève enfin pour se laisser déculotter par son compagnon. Puis il se dégrafe dévoilant une belle érection et oblige sa compagne à se lever pour se glisser derrière elle, dans le fauteuil. Elle se laisse guider.

Il soulève sa jupe et nous révèle un très joli cul, tout rond, bien fendu. Elle se cabre lorsqu'il la pénètre. Toi et elle, jambe l'une contre l'autre, courbé en avant, en train de vous faire baiser. Ce fauteuil vide entre nous te gêne un peu mais tu hasarde une main sur la cuisse de ta voisine qui ne se dérobe pas.

Tu avance jusqu'à son sexe peu poilu et tu déniche son clito que tu caresse du bout des doigts, sentant le sexe de son partenaire quelques centimètres plus bas. Ta main descent, timide pour lui caresser les couilles. Elle a la fente bien mouillée et les lèvres gonflées. Je te palpe les seins, essayant de maintenir ton chemisier ouvert pour satisfaire ton voisin qui semble très attiré vers ta poitrine et se contorsionne pour l'apercevoir dès que je laisse retomber le pan du vêtement.

Alors d'un geste, je l'invite à mesurer par lui-même la consistance, ce qu'il fait à pleines mains, pendant que je continue à branler ton clito que j'ai sous les doigts.

La fille se trémousse de plus en plus violemment et je sens mon plaisir tout comme le tiens monter à l'unisson tant tu me chevauche bien. La fille jouit dans une crispation presque imperceptible alors que je décharge à nouveau en te regardant lui masser les couilles pendant que je t'astique le bouton et te défonce le cul à coup de reins.

Nous mettons quelques instants à retrouver un rythme cardiaque normal puis, brusquement, ma voisine se lève, entraînant vers la sortie son compagnon sans même lui laisser le temps de se rajuster correctement. Tant pis, nous ne faisons aucun geste pour les retenir. Le garçon se retourne et nous sourit, puis ils disparaissent.
Ven 28 déc 2007 4 commentaires
très jolie poitrine
Val - le 28/12/2007 à 10h46
après une bonne branlette espagnole j'éjacule par saccades sur tes tétons
jimmy06 - le 07/01/2008 à 15h01
est il possible de voir sa chatte de salope toute grande ouverte
jimmy - le 07/01/2008 à 15h03
merci pour votre passage sur notre blog le votre et tres sympaa aussi bonne continuation
nousdeux - le 11/01/2008 à 17h52