Mardi 8 janvier 2 08 /01 /Jan 15:19

undefined  Je coupe le moteur, coupe la musique et te cache les yeux avec un bandeau. Je te propose de retirer ton haut car j’avais dans l’idée que tu sois complètement nue en haut avec ta jupe retroussée jusqu'à la taille. Ce qui je fis sans tarder et j’avais l’impression que ce petit jeu commençait à t’exciter. Tes tétons pointaient d’excitation, tes seins gonflaient de plaisir. Et le doigt trempé que je ressortais de ta chatte me le prouva. 







Je sais que tu apprécie quand je te doigte et tu me le confirme en écartant les jambes encore plus. Je te chuchote à l’oreille : il y a un mateur en train de se branler juste à coté de ta vitre, et je n’oublis aucun détails. Il regarde tes seins de petite salope, sa queue est énorme, il a sorti ses couilles qui ont l’air pleines.

Tu es méga excitée, je le sens, tu as envie de baise et moi je me sens d’humeur très cochonne et décide de pousser le jeu plus loin. Je te dis que je vais ouvrir la vitre pour qu’il puisse te caresser les seins. Tu acceptes avec un oui catégorique. A peine la fenêtre fut ouverte que ça main te pelota les seins, te pince les tétons pendant que moi, j’enfonce 2 doigts dans un va et vient frénétique.

De temps en temps il alterne en te faisant sucer ces doigts, que tu lèche avidement. Du regard, je lui propose de te masturber. Il ne se fait pas prier et plonge son majeur dans ta chatte toute trempée. Il est obligé de se courber pour bien te défoncer avec ces phalanges et profite de passer sa langue sur ton cou.

Je ne tiens plus et te demande de venir sucer ma queue devenue énorme. Tu lèche d’abord mon gland avant d’enfoncer toute ta bouche sur la verge. Pendant ce temps la notre complice en profite pour te masturber comme il se doit vu que tu es penchée sur le coté, il a tout le champ libre. Tu en voulais plus et te redressa à 4 pattes le cul bien cambré vers ton cochon et tu commence à me branler dans ta bouche.

Tu sens ces doigts entrer en toi, bouger dans ton vagin humide, s’introduire dans ton cul qu’il dilate petit à petit. Tu me demande de te prendre, tu veux te faire défoncer alors je te dis de te tourner dans l’autre sens, ton visage près de la vitre. Tu cambre des reins et ta chatte ouverte, brûlante, est une invitation, j’ai envie de te posséder toute entière.

A peine retournée près de la porte, tu senti une poigne de fer sur ta nuque, t'obligeant à t’approcher plus de la fenêtre...

"Allez chérie, si tu as soif, je vais te faire boire moi !" te lança t'il en te la fourrant dans la bouche.

Tu étais interloquée mais flattée qu'un inconnu te "regarde autrement "; sur le moment tu n'as pas vraiment réfléchi, d'autant que tu n'avais guère le choix ! Et puis à vrai dire la pipe est ton péché mignon, tu n'allais pas laisser passer l'occasion ! Il ne bandait pas tout à fait. Tu hésitais. Tu commençais par de petits coups de langue sur ce gland, tu étais un peu nerveuse, d'autant que son sexe était d'une épaisseur hors norme.

Pas très grand mais d'un diamètre qui grandissait au fur et à mesure de tes lichettes, cela commençait à te faire peur. Il s'en aperçu et à partir de cet instant se transforma en un vrai moulin à parole ! Il te  donnait ses indications.

"C'est çà. Donne des petits coups de langue, à droite, à gauche, descend, oui là, lèche moi, remonte, sur le gland, hum c'est bon, t'as fait çà toute ta vie toi..."Tu t'appliquais à suivre ses indications, tu étais fière de toi car tu voyais qu'il appréciait la prestation. Cela faisait partie de tes fantasmes, d'un seul coup tu te retrouvais dans tes rêves...

"Voila prends la bien dans ta bouche, bien au fond, c'est çà, reviens en aspirant..."Tu le suçais avec délectation. Rassuré sans doute, il en profita pour baisser son pantalon et son slip. Ta bouche faisait son aller retour tandis que tu lui malaxais les couilles d'une main, Il faisait les questions et les réponses:

"Oh tu aimes çà ma salope, oh oui que tu aimes çà... C'est la première fois que tu suces un voyeur hein ?, et çà t'excite comme une dingue hein ma cochonne, allez vas-y, si tu es sage tout à l'heure t'auras droit de boire... t'es une sacré coquine..."

Tu trouvais çà excitant et il continuait:

"attends, suce moi les couilles là... aspire oh oui comme çà... mordille moi le gland... ah SALOPE,... qu'est ce que tu pompes bien..."

Tu avais du mal à le pomper justement. Sa queue était "trop grosse" pour toi, tu essayais de faire du mieux possible mais tu ouvrais tellement la bouche pour l'avaler que t'en avais mal. Il était difficile d'aller au fond car tu avais rapidement du mal à respirer. Il commençait à "mouiller" sérieusement et toi tu te transformais tout bonnement en fontaine !

Tu arrêtais un instant ta succion et tu remontais ta langue le long sa queue...Tu sentais son braquemart dans ta bouche et tu aurais presque pu en jouir à ce moment là. Il senti "le danger" arriver. Il reprit sa poigne de fer mais d'une façon plus... euh... courtoise... pour te l’enfoncer encore plus.

"Allez suce Salope puisque tu aimes çà... et t'arrêtes pas... la pute elle fait çà trop bien..."

C'est vrai que tu aimes çà, mais là tu ADORAIS çà. Une grosse queue pour toi  toute seule avec ma bite qui te défonce en même temps, de cette manière si inattendue, Tu étais tellement excitée que tu pourrais te tapée tous les mecs qui passaient !et à la fois encore ! Quelle excitée tu étais !pire qu'une chienne en chaleur !

Ta langue descendait le long de sa verge, tu suçais ses grosses couilles une à une, puis tu remontais lentement -bien lentement - en prenant soin de bien fermer tes lèvres contre son sexe, tu reprenais sa bite dans ta bouche en le suçant bien fort et tu accélérais ton mouvement. Tu le sentais à point.

Tu aimes avoir la bouche bien pleine toi ?" Tu acquiesçais d'un HUMM approbateur tout en le gobant et t'interrogeant un peu sur la suite. Tu ne serais pas déçue.

" Tiens tu vas voir ma salope comme je vais te la mettre !"

Il te prit la tète à deux mains et attaqua son va et vient dans ta bouche comme s'il te baisait. De grands coups de butoir, et continuait de plus en plus fort si possible, t'appuyant sur la tète pour aller jusque dans ta gorge. Tu n'en pouvais plus et il se retira : D'un coup il te tira les cheveux pour mettre ta tète en arrière et se mis à se branler frénétiquement au-dessus de ton visage.

Tu reprenais ta caresse linguale... par de petits coups sur les couilles... Il ne parlait plu ! Du moins, ce n'était plus le même discours ! Des mots de plus en plus espacés, les "vas-y ma salope" devenait "pompe ! Puis "ACHHhh"… il montrait des signes de faiblesse.

Le premier jet inonda ta joue, le deuxième à la commissure de tes lèvres, quant au reste il déchargea dans ton cou ! Il ne se contrôlait plus et se masturbait comme un fou en regardant vers le haut! Tu étais un peu déçue de ne pas avoir reçu sa semence dans la bouche mais il se rattrapa bien vite:

"ah putain çà fait du bien !"

Tout en reprenant sa queue ramollie, il récoltait son jus dans ton cou et te le mettait dans la bouche.

"Allez ma cochonne, tu me nettoies tout çà et en vitesse".

Oh que OUI, tu allais nettoyer et enfin goutter à ce sperme si attendu !
Tu dégoulinais de partout ! En haut de sperme, en bas tu mouillais grave et tu avalais sa semence épaisse et 'vigoureuse' et tu te régalais. Tu étais dans un état ! Une pipe fantasmatique et inattendue, la chaleur, ce sperme...

Je redoublais de vigueur, te défonçais comme jamais et sentant que j’allais jouir, je te tire les cheveux en arrière, lui en profitait pour te presser les seins, tu n'aurais pas assez de tes dix doigts pour te fourrager le clito, la vulve, les lèvres, le vagin et même mon petit trou qui en demandait ! Une vraie furie de sexe! Je tente deux doigts dans ton cul, TU EXPLOSAIS !

Tu explosais de jouissance comme rarement tu avais connu. Tu ne te souviens pas d'un orgasme aussi fort ! Tu atteignais enfin le nirvana dont tu avais lu et entendu parler !
Je déchargeais en même temps par longues saccades "Tiens ma salope, puisque t'aimes çà", ma vue se brouille, les vertiges, ton cul entre mes mains, ton dos, tes cheveux.

Tu te relevais précipitamment, notre  compère s'était déjà enfui... tu n'avais rien à regretter... tu n'avais rien demandé... mais... c'était bon quand même... et puis quel pied! ... 

Par jimbo
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